Chronique
#38
Titre : Sagas
des neuf mondes
Tome : Tome
4 ; La folie de Thjazi
Auteur : Pierre
Efratas
Éditions :
Flammèche
Collection :
Flamm’dor
Genres :
Nouvelle,
Mythologie
ISBN :
979-10-93026-04-6
Pages :
Ebook
Résumé :
« Ces histoires furent
contées à la cour de Halfdan III le Noir, roi du Vestfold, par un
scallde nommé Bjarni Olofsson. La lire de Bjarni s’est éteinte
depuis longtemps, mais quand souffle le vent du Nord, tendez bien
l’oreille : il vous emmènera dans les neuf mondes où vivent
les dieux, les humains, les créatures étranges, l’aventure, la
magie, l’amour et, parfois, l’humour. Alors frémiront pour vous
les feuilles immémoriales d’Yggdrasil, le frêne cosmique.
Écoutez… Écoutez l’histoire du géant Thjazi, prêt à toutes
les folies pour retrouver sa jeunesse passée. »
Et voilà ! J’ai enfin
fini de lire les services presse que les Éditions Flammèche m’ont
généreusement envoyé. Je tiens à leur apporter toute ma
gratitude, pour tout les six services presse qu’ils m’ont fourni,
mais aussi pour la patience dont ils ont fait preuve avec moi car
j’ai mis énormément de temps pour les finir et je tiens à m’en
excuser.
Donc,
il s’agit d’une nouvelle, comme les quatre autres de Pierre
Efratas, toujours en rapport avec la mythologie nordique. Dans ce
tome quatre, on voit aussi comme
toujours que Loki est au centre de l’histoire côté des dieux. Du
côté des humains, il s’agit de Steingrim le Maussade, qui habite
sur l’île de Lófót dans le royaume de Hálogaland. Il vit avec
son chien Nagli, et un jeune employé
qui se nomme Myngill. Il se trouve qu’il y a aussi un troisième
protagoniste ; Thjazi, un géant de Jötunheim. Nous nous
rendons
compte que Steingrim et Thjazi ont un point commun, ils n’aiment ni
vieillir, ni les femmes.
Nous
apprenons que les Dieux ont recours à un stratagème pour garder
leur jeunesse, et pour avoir la vie éternelle, que ce n’est pas
« parce que ce sont des Dieux », mais grâce aux pommes
d’or qu’une déesse fait pousser dans un jardin secret.
Malheureusement, ces pommes vont être volées
par Loki qui les amène à Thjazi sous la contrainte. Bien sûr,
le fourbe Loki trouvera un moyen de se faire pardonner.
Pendant ce temps, Steingrim va
pêcher une jeune femme, Almveig, qui a subi un naufrage. Son clan et
un autre clan ennemi se sont affrontés et la chef ennemie l’a
rendue aveugle. Mais une fois chez Steingrim, celle-ci tomba très
malade ; elle allait mourir sous peu. C’est alors que
quelqu’un déposa des « Poires d’or » à sa porte, ce
qui devait la guérir. Ce qui arriva ; elle retrouva même la
vue.
En lisant cette histoire, j’ai
eue l’impression que Steingrim retrouverait l’amour avec Almveig,
mais non, elle restera avec Myngill s’occuper de la maison de
Steingrim devenue la sienne, car le Maussade, après avoir mangé un
de ces fruits, retrouva sa jeunesse et décida de partir sur les
routes….
Ce qui nous amena à connaître
l’identité du conteur que l’on rencontre tout au long des quatre
tomes. Ce qui est une façon de faire qui est sympathique !
Voici ma citation préférée, de
Loki d’ailleurs :
« Si l’on ne se sert
pas soi-même, on risque de ne pas être servi du tout. »
J’en conclus que je n’accroche
toujours pas aux nouvelles, mais que Pierre Efratas a une plume
particulière et sait jouer avec les mots de façon à nous
surprendre.
Pour moi, cette nouvelle vaut un
12/20.
Et vous, l’avez vous lue ?
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